T$: dollars fictifs, crées par Pokerstars, utilisables uniquement pour s'inscrire à un tournoi. S'obtiennent llorsque l'on se qualifie pour un tournoi et que l'on s'en désinscrit.
W$: même principe que pour les T$, au détail près qu'il ne peuvent s'utiliser seulement pour participer à un satellite ou événement qualificatif (comme les steps).
Voilà pour la théorie. En pratique, comme l'a relevé le toujours excellent Pascal (pokerch -ici), ces T$ peuvent être de véritable bouffées d'air pour une bankroll qui s'essouffle (comme la mienne: je voudrais tenter ma chance sur des 22$, des 55$ et je peux pas...), à condition de bien choisir son tournoi qualificatif. Si on considère avoir un réel avantage sur des joueurs de tournois à basse limite, il est intéressant de prendre part à ces satellites, dans le but de se voir offrir un ticket, que l'on convertira en T$ aussitôt. Pokerstars offre une immense variété de tournois qualificatifs, que ce soit pour de grands events live ou pour leurs compétitions majeures (Sunday Warm Up et Million (215$ d'entrée chacun); Daily Eighty Grand (55$ de buyin), etc.) et l'on peut s'inscrire à ces sats à partir de 2 ou 3$. Bien sûr, ce sont des épreuves turbos. Bien sûr, ce sont de rebuy pour la plupart, mais le niveau général de ces épreuves est si abordable que le jeu en vaut la chandelle.
Toujours sur les conseils de Pascal, je m'y suis mis, en faisant trois tentatives (deux 3$+R; un 2$+R) et ce fut une très bonne pioche (215T$, 33 W$ et 12$ cash gagnés pour un investissement total de 30$ avec les rebuys). Il est clair que le type de jeu demande une adaptation toute spéciale: l'augmentation des blinds toutes les 5 minutes, le fait que la table soit composée d'une bonne moitié de fous-furieux a des implications profondes sur le jeu. On développe très peu de coups et la chance intervient de manière non négligeable. Cependant, une bonne sélection de mains preflop (en tout cas pendant la période rebuy), une agressivité sélective et une bonne dose de sang-froid suffisent à s'approcher de la bulle... L'expérience m'a plu. Elle m'a surtout permis de monter une BR spécial tournoi d'un joli montant déjà et qui va me permettre de m'inscrire à des events un peu plus chers que les 5.5 et 11$ auxquels je suis habitué. Je vais donc inscrire ces sats à mon agenda hebdomadaire, histoire d'amputer mon compte du moins possible pour me payer mes tournois.
Et la cagoule de gentiment se ranger dans l'armoire... Enfin...
Pendant ce temps, ailleurs, quelques jours seulement après une sale soirée(+ d'infos), mon ami Roman subit à nouveau un lourd bad beat. Iniesta marque alors que l'on joue les arrêts de jeu de la demi-finale retour de Ligue des Champions, Chelsea - Barca. 1-1, Barcelone chavire de bonheur, pendant que Drogba tilte, et est qualifié pour head's up final. Roman se consolera en félicitant Malouda pour sa prestation et se dira que, définitivement, c'était pas sa semaine; qu'à force de seulement vouloir jouer des coups sans risque, de jamais vouloir prendre de coinflip, ben, on gagne jamais bien gros.
W$: même principe que pour les T$, au détail près qu'il ne peuvent s'utiliser seulement pour participer à un satellite ou événement qualificatif (comme les steps).
Voilà pour la théorie. En pratique, comme l'a relevé le toujours excellent Pascal (pokerch -ici), ces T$ peuvent être de véritable bouffées d'air pour une bankroll qui s'essouffle (comme la mienne: je voudrais tenter ma chance sur des 22$, des 55$ et je peux pas...), à condition de bien choisir son tournoi qualificatif. Si on considère avoir un réel avantage sur des joueurs de tournois à basse limite, il est intéressant de prendre part à ces satellites, dans le but de se voir offrir un ticket, que l'on convertira en T$ aussitôt. Pokerstars offre une immense variété de tournois qualificatifs, que ce soit pour de grands events live ou pour leurs compétitions majeures (Sunday Warm Up et Million (215$ d'entrée chacun); Daily Eighty Grand (55$ de buyin), etc.) et l'on peut s'inscrire à ces sats à partir de 2 ou 3$. Bien sûr, ce sont des épreuves turbos. Bien sûr, ce sont de rebuy pour la plupart, mais le niveau général de ces épreuves est si abordable que le jeu en vaut la chandelle.
Toujours sur les conseils de Pascal, je m'y suis mis, en faisant trois tentatives (deux 3$+R; un 2$+R) et ce fut une très bonne pioche (215T$, 33 W$ et 12$ cash gagnés pour un investissement total de 30$ avec les rebuys). Il est clair que le type de jeu demande une adaptation toute spéciale: l'augmentation des blinds toutes les 5 minutes, le fait que la table soit composée d'une bonne moitié de fous-furieux a des implications profondes sur le jeu. On développe très peu de coups et la chance intervient de manière non négligeable. Cependant, une bonne sélection de mains preflop (en tout cas pendant la période rebuy), une agressivité sélective et une bonne dose de sang-froid suffisent à s'approcher de la bulle... L'expérience m'a plu. Elle m'a surtout permis de monter une BR spécial tournoi d'un joli montant déjà et qui va me permettre de m'inscrire à des events un peu plus chers que les 5.5 et 11$ auxquels je suis habitué. Je vais donc inscrire ces sats à mon agenda hebdomadaire, histoire d'amputer mon compte du moins possible pour me payer mes tournois.
Et la cagoule de gentiment se ranger dans l'armoire... Enfin...
Pendant ce temps, ailleurs, quelques jours seulement après une sale soirée(+ d'infos), mon ami Roman subit à nouveau un lourd bad beat. Iniesta marque alors que l'on joue les arrêts de jeu de la demi-finale retour de Ligue des Champions, Chelsea - Barca. 1-1, Barcelone chavire de bonheur, pendant que Drogba tilte, et est qualifié pour head's up final. Roman se consolera en félicitant Malouda pour sa prestation et se dira que, définitivement, c'était pas sa semaine; qu'à force de seulement vouloir jouer des coups sans risque, de jamais vouloir prendre de coinflip, ben, on gagne jamais bien gros.
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