Imaginez la scène: Berne, Palais Fédéral, 23h35, après une dure journée de travail, Moritz Leueunberger, ayant regardé sa main, balance un regard assassin à Micheline Calmy-Rey et fait un check-raise. Dépitée, elle jette ses cartes à la défausse. Surréelle, non? Pas si sûr. En effet, le poker pointe le bout de son nez en politique, depuis que le fraîchement élu Barack Obama a avoué son penchant pour notre jeu préféré. Rien d'extraordinaire en soi, si ce n'est l'espoir que le 44è président des Etats-Unis représente pour l'Alliance des joueurs de poker ricains -un million d'adhérents quand même- concernant l'abrogation de la loi votée en octobre 2006, leur interdisant de gambler online. Rien n'est joué encore toutefois, mais les pronostics vont bon train. Une nouvelle qui devrait réjouir Kipik, que l'évacuation des calling stations ricaines de PartyPoker avait chagriné.
Une chose est sûre, après huit années passées à avoir joué à la bataille, version donkplay, sous l'administration Jamie Gold, euh..., W., les Etats-Unis se réveilleront le 21 janvier prochain sous une nouvelle ère, pokérienne, respectant les cotes, ne jouant pas les tirages coûteux...
Enfin, il est pas interdit de rêver. Surtout que c'est la seule chose qui reste à tous ceux qui sont dans la merde, là-bas, de l'autre côté de l'Atlantique. Et ils sont pas peu nombreux...
Une chose est sûre, après huit années passées à avoir joué à la bataille, version donkplay, sous l'administration Jamie Gold, euh..., W., les Etats-Unis se réveilleront le 21 janvier prochain sous une nouvelle ère, pokérienne, respectant les cotes, ne jouant pas les tirages coûteux...
Enfin, il est pas interdit de rêver. Surtout que c'est la seule chose qui reste à tous ceux qui sont dans la merde, là-bas, de l'autre côté de l'Atlantique. Et ils sont pas peu nombreux...
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