À l'heure où Michelle Obama met toute la presse en émoi (ben ouais, fallait pas toucher la queen mum) -et en même temps, faut dire qu'elle arrive pas à la cheville de Babette Deiss avec sa bise au Japon...-, une catastrophe d'un tout autre genre secoue ma sphère privée : je suis dans une période de bad run. Une bonne grosse période de déchatte qui m'entraîne gentiment vers le tilt -et pan, encore un deux outers, juste à l'instant, contre le CL sur le 30'000$ garantis, alors que je suis dans les 100 premiers (KK vs 55, devinez ce qu'amène la river?)-, et que je n'arrive plus à contrôler. Cash games, tournois, SNG, tout y passe à mon plus grand malheur. Vraiment difficile à supporter, surtout au niveau bankroll, avec laquelle je repasse dans le négatif pour la première fois depuis un bout de temps. Je sais que ça arrive à tout le monde à un moment donné et c'est pourquoi je vais arrêter de me plaindre et vous parler d'autre chose que de poker. Enfin, on va essayer.
Tout d'abord ça:
Ghost Poker. Le film qui a réinventé le genre. Le genre "y a pas assez de lettres dans l'alphabet pour le catégoriser". Sérieux, à voir d'urgence si vous pensez que le dernier long-métrage que vous avez vu était nul. Parce que celui-là, c'est une perle. Une vraie. Unique. Un jeune homme a hérité d'un casino désaffecté à Vegas. Il s'y rend avec ses potes (bien sûr, y a une blonde à forte poitrine) et rêve de le rénover pour relancer l'affaire. Le problème, c'est que son oncle, décédé, était une fripouille qui avait planqué un tas de billets verts qu'il devait à des membres de la mafia locale, morts eux aussi. Ça se complique quand tout ce joli monde vient rendre visite, de nuit, aux jeunes gens innocents. Hallucinant de piètres effets spéciaux et d'un scénario écrit par un gosse de 5 ans, ce film d'une heure quinze mérite en tout cas un téléchargement, rien que pour la "partie" de poker finale. Un must.
Ensuite, ça:
Audioslave et leur album éponyme [2002]. La grande classe. Une redécouverte dont je ne peux me passer ces temps. Du rock, du vrai, envoûtant et mélodique, soutenu par un Chris Cornell [ex-Soundgarden] parfait au chant. À écouter d'urgence, surtout la chanson "Shadow of the sun".
Et pour finir, ça:
L'Historienne et Dracula. Le roman que je lis en ce moment. Sans prétention, mais hyper bien documenté sur le sujet. Le lecteur suit les traces d'un historien, père de la narratrice, qui traque le monstre, des États-Unis à la Bulgarie, en passant par la Turquie, la Roumanie, la Hongrie, le tout dans les années 50. Le vampire est derrière nous à chaque page, et on peut sentir son haleine morbide nous envahir les narines alors qu'il s'apprête à ...
Voilà.
Comme quoi, y a pas que le poker dans la vie.
Ghost Poker. Le film qui a réinventé le genre. Le genre "y a pas assez de lettres dans l'alphabet pour le catégoriser". Sérieux, à voir d'urgence si vous pensez que le dernier long-métrage que vous avez vu était nul. Parce que celui-là, c'est une perle. Une vraie. Unique. Un jeune homme a hérité d'un casino désaffecté à Vegas. Il s'y rend avec ses potes (bien sûr, y a une blonde à forte poitrine) et rêve de le rénover pour relancer l'affaire. Le problème, c'est que son oncle, décédé, était une fripouille qui avait planqué un tas de billets verts qu'il devait à des membres de la mafia locale, morts eux aussi. Ça se complique quand tout ce joli monde vient rendre visite, de nuit, aux jeunes gens innocents. Hallucinant de piètres effets spéciaux et d'un scénario écrit par un gosse de 5 ans, ce film d'une heure quinze mérite en tout cas un téléchargement, rien que pour la "partie" de poker finale. Un must.
Ensuite, ça:
Audioslave et leur album éponyme [2002]. La grande classe. Une redécouverte dont je ne peux me passer ces temps. Du rock, du vrai, envoûtant et mélodique, soutenu par un Chris Cornell [ex-Soundgarden] parfait au chant. À écouter d'urgence, surtout la chanson "Shadow of the sun".
Et pour finir, ça:
L'Historienne et Dracula. Le roman que je lis en ce moment. Sans prétention, mais hyper bien documenté sur le sujet. Le lecteur suit les traces d'un historien, père de la narratrice, qui traque le monstre, des États-Unis à la Bulgarie, en passant par la Turquie, la Roumanie, la Hongrie, le tout dans les années 50. Le vampire est derrière nous à chaque page, et on peut sentir son haleine morbide nous envahir les narines alors qu'il s'apprête à ...
Voilà.
Comme quoi, y a pas que le poker dans la vie.
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