Pour finir, je me suis décidé, il y a quelques semaines à poursuivre mon grind sur un site qui proposait du rakeback. J'avais évoqué la possibilité de rejoindre UB, mais devant l'incompatibilité de leur offre de rakeback et de bonus, je me suis dirigé vers un autre opératuer à la réputation sulfureuse: Absolute Poker. Je vais pas disserter des heures sur ce choix, car je pense qu'il n'y a pas plus sûr qu'une room qui a été victime d'affaires de triche. Si elle est encore en ligne, toutes les précautions nécessaires ont sûrement été prises.
Bref, passons. Mon grind s'est super mal passé. Pour deux raisons majoritaires. La première est le fait que les tables et les limites sur lesquelles je voulais jouer n'étaient pas toujours abondamment peuplées. Genre pas peuplées du tout. Du coup, j'ai souvent dû m'asseoir à des limites auxquelles je ne voulais pas jouer de prime abord. Grossière erreur. Je suis un donk. Cet état de fait assorti à un tilt consécutif à un bad run et me voilà assis en Limit SH 2-4$ pour perdre ma cave en moins de 30 minutes. Retour aux tables, en Limit SH 1-2$ cette fois. Catastrophe. Plus envie et plus la discipline pour jouer en NL25.
La deuxième raison de ma descente aux enfers est sans doute le niveau un peu plus élevé des adversaires sur cette room. En effet, le rakeback offert, assorti au bonus de 100%, a sans doute attiré pas mal de requins sur cette room encore peu peuplée. Et je me suis fait prendre, n'ayant pas su adapté mon jeu. J'ai commencé la fleur au fusil, appliquant les bonnes vieilles recettes qui m'avaient apporté un certain succès sur Ipoker. Sauf que là, ça a pas marché. J'aurais dû resserer mon jeu, le temps de cerner mes adversaires (dont la plupart n'étaient que des regulars) et de pouvoir faire parler par la suite mes qualités. Ben non. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué. Pourquoi gagner quand on peut perdre et se plaindre sur son blog? Ah, ce bon vieil instinct de mâle mal placé, celui qui vous glisse à l'oreille: "Ne te couche pas, tu es meilleur que lui. Il bluffe, c'est sûr !" Je n'ai cru aucun adversaire, n'ai pas su quitter la table quand j'étais minable. Pa su maximiser les profits, les rares fois où j'étais gagnant. Novembre a fait ressortir le donk qui sommeillait en moi et je ne peux m'empêcher de sourire en pensant à la tête de mes adversaires, me voyant m'asseoir à leur table... "Yes, he's here again!"
J'ai flambé mon bénéfice durement acquis en octobre et me suis dit qu'il était temps de stopper net l'aventure. De ne plus jouer pendant quelques temps, de faire un break.
La suite? Bankroll management à la Chris Ferguson. Inscription sur un nouveau site. Ou retour sur PS. Mais break d'abord.
Pas de doute, on est bien en novembre.
Bref, passons. Mon grind s'est super mal passé. Pour deux raisons majoritaires. La première est le fait que les tables et les limites sur lesquelles je voulais jouer n'étaient pas toujours abondamment peuplées. Genre pas peuplées du tout. Du coup, j'ai souvent dû m'asseoir à des limites auxquelles je ne voulais pas jouer de prime abord. Grossière erreur. Je suis un donk. Cet état de fait assorti à un tilt consécutif à un bad run et me voilà assis en Limit SH 2-4$ pour perdre ma cave en moins de 30 minutes. Retour aux tables, en Limit SH 1-2$ cette fois. Catastrophe. Plus envie et plus la discipline pour jouer en NL25.
La deuxième raison de ma descente aux enfers est sans doute le niveau un peu plus élevé des adversaires sur cette room. En effet, le rakeback offert, assorti au bonus de 100%, a sans doute attiré pas mal de requins sur cette room encore peu peuplée. Et je me suis fait prendre, n'ayant pas su adapté mon jeu. J'ai commencé la fleur au fusil, appliquant les bonnes vieilles recettes qui m'avaient apporté un certain succès sur Ipoker. Sauf que là, ça a pas marché. J'aurais dû resserer mon jeu, le temps de cerner mes adversaires (dont la plupart n'étaient que des regulars) et de pouvoir faire parler par la suite mes qualités. Ben non. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué. Pourquoi gagner quand on peut perdre et se plaindre sur son blog? Ah, ce bon vieil instinct de mâle mal placé, celui qui vous glisse à l'oreille: "Ne te couche pas, tu es meilleur que lui. Il bluffe, c'est sûr !" Je n'ai cru aucun adversaire, n'ai pas su quitter la table quand j'étais minable. Pa su maximiser les profits, les rares fois où j'étais gagnant. Novembre a fait ressortir le donk qui sommeillait en moi et je ne peux m'empêcher de sourire en pensant à la tête de mes adversaires, me voyant m'asseoir à leur table... "Yes, he's here again!"
J'ai flambé mon bénéfice durement acquis en octobre et me suis dit qu'il était temps de stopper net l'aventure. De ne plus jouer pendant quelques temps, de faire un break.
La suite? Bankroll management à la Chris Ferguson. Inscription sur un nouveau site. Ou retour sur PS. Mais break d'abord.
Pas de doute, on est bien en novembre.
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